8 février 2006
Le bel et la baïïte
Le baby sitting, c'est connu, c'est chiant.
J'ai testé pour vous le cat sitting.
Présentation des protagonistes :
- Moi, humain (à peu près) normalement constitué. Je pensais être maître de mes nerfs en général, assez calme. Je croyais même aimer les animaux
- Un chat. Celui d'un pote partit aux sports d'hiver. Son nom : Grisoux (mouais :/). Signes distinctifs : chat d'assez petites taille, tigré gris/noir avec le bas du corps tout blanc. Y'a pas à dire il est mignon.
Taille de l'arène : 30 m2 environ, au rangement plus qu'approximatif.
Jours 1-2 :
Arrivée de l'animal, je le sors de sa cage de voyage après qu'il ai miauler comme un perdu pendant les 10 minutes de trajets en voiture. Il s'approprie directement les lieux, fouine partout, joue avec des trucs et se cache dans des endroits que je ne connaissais même pas. Il a l'air de se plaire ici, parfait. Il est gentil ce chat, mais qu'est-ce qu'il est collant. Il passe son temps à m'enpecher de faire quoi que se soit. J'essaye d'utiliser le pécé. Il s'assied devant ou marche sur le clavier. J'essaye de rédiger du courrier, il me rentre ses griffes dans la cuisse.
Il commence à me gonfler au bout d'une seule journée.
Alors je vous laisse imaginer la deuxième. Il commence à faire diverses conneries. Dépouillage de divers trucs traînant. Faisage de griffes sur d'autres trucs que son "machin à griffes". Il réclame sans arrêt à bouffer.
Mais avec mon bon caractère et mon stoïcisme, je supporte et garde le sourire.
Jours 3-4
Je perds mon calme. Cet animal est une peste trop gâtée. Il continue ses anneries. Il tente vainement d'attirer mon attention. Ca ne marchera pas, il peut en être sur.
En fait si, il y arrive. Il vient de renverser ma tasse de café. Sale bête, je lui balance un oreiller dans la gueule. Je sais c'est pas bien, mais il l'a chercher. Il semble légèrement calmé, je suis content.
Jusqu'à découvrir l'horreur plus tard, ce neuneu a renversé une bouteille d'Isio 4. Oui oui l'huile de cuisson. Évidement la bouteille n'a rien trouvé de mieux à faire que de s'ouvrir dans sa chute. De l'huile partout à terre, et bien sur ce nanard en a répandu partout. Je perds mon calme. Je lui colle une baffe. Il pars en courant dans un recoin. Je passe la serpillière tant bien que mal. Puis ceci fait je pars à la recherche du chat. Il me fuit, je crois qu'il a compris que je ne l'aime pas.
J'arrive à le ratrapper pour le caresser et lui faire comprendre que la cohabitation va être dure mais que je suis prêt à faire des efforts.
Chat 0 - Coincoin 1
Conscient du manque d'intérêt de ce message. J'arrête à cet endroit.